À Charles Spon, le 22 juin 1655
Note [32]
Pour la seconde fois dans sa lettre, Guy Patin déplorait que le tribunal ecclésiastique (présidial) se fût mis au service du parti antimonial en faisant publier dans les églises de Paris des monitoires incitant les paroissiens à dénoncer ceux qui avaient écrit, imprimé ou diffusé les libelles contre François Guénault et ses alliés. Il est vrai que la querelle avait pris un tour religieux en invoquant sa ressemblance avec celle des jésuites et des jansénistes, et le Pax vobis du pape à ce sujet (v. note [26], lettre 399).