« Mais à ce que j’ai entendu sur ce qu’il a prescrit, je puis affirmer qu’il ne connaît presque rien à l’art qu’il prétend professer [v. note [18], lettre 290]. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 19 juin 1657, note 36.