À André Falconet, le 3 janvier 1659
Note [23]
« Elle ne mourait pas à cause du destin ni d’un trépas mérité ; mais malheureuse, elle partait avant le terme » (chant iv, vers 696-697).
Didon, première reine légendaire de Carthage, se fit brûler sur un bûcher quand Énée (v. note [14], lettre d’Adolf Vorst, datée du 4 septembre 1661), son amant rappelé par les dieux, la quitta.