À André Falconet, le 5 novembre 1660
Note [2]
Le P. Théophile Raynaud était alors âgé de 77 ans et avait encore trois ans à vivre. Ses œuvres complètes allaient paraître à Lyon en 1665 (v. note [6], lettre 736).
Les deux traités que Guy Patin citait ici sont :
[La Discipline morale soigneusement et complètement expliquée pour frayer le chemin de la théologie pratique et de la science des lois… Ouvrage qui modère, avec beaucoup d’agrément, la subtilité scolastique, en cueillant chez les sages païens et chrétiens ; il étaye solidement et illustre les principes auxquels les conclusions du droit doivent se référer, et ses références morales, tirées du traité théologique, sont utiles aux étudiants en droit qui ignorent la théologie ; il offre un garde-manger pour alimenter les dissertations sacrées et profanes] ; {a}
[La Théologie naturelle, ou Recherche, à la lumière de la nature, de l’être créé et incréé dans la suprême abstraction…]. {b}