« d’une dysurie maligne » : v. note [13], lettre 18, pour le duc d’Épernon, Bernard de Nogaret de La Valette, qui mourait sans doute d’une anurie (suppression d’urine, v. note [10], lettre 209).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 juillet 1661, note 6.