À Charles Spon, le 5 juin 1663
Note [24]
« et dont il a heureusement guéri » ; v. notes [6], lettre 751, pour la rougeole de Louis xiv et [20], lettre 748, pour la fièvre de sa mère (Guy Patin a reconnu dans une lettre ultérieure qu’on lui avait fait prendre du vin émétique).