À André Falconet, le 28 août 1669
Note [11]
« par un mauvais sort, et même le pire de tous, il est parti pour l’au-delà [v. note [13], lettre 248] ; et le voilà entré dans cette contrée d’où, dit-on, nul ne revient jamais [Catulle, v. note [11], lettre 237]. »