À Sebastian Scheffer, le 27 octobre 1660
Note [3]
Guy Patin a souvent parlé de ce Pierre Mocquillon dans sa correspondance avec Sebastian Scheffer ; marchand parisien établi à Francfort, il leur servait d’intermédiaire, sans qu’on sache à peu près rien de plus à son sujet (sinon que son épouse était fille d’un dénommé Breteau, v. lettre 1261).
Je n’ai pas identifié le « Calendrier germanique » ou « authentique » ; il ne pouvait pas s’agir d’une confusion de Patin avec le Calendarium Romanum [Calendrier romain] (Douai, 1657, v. note [3], lettre latine 271) car il n’a parlé pour la première fois de ce livre qu’en 1663.