À Johann Georg Volckamer, le 12 juillet 1663
Note [10]
Ce sont deux autres références citées dans la thèse de Christoph Nicolaï (v. supra note [6]).
Paracelso hoc unguentum natales debere, ex l. i. Archidox. Mag. liquet. Scholæ enim Hermeticæ antiquæ et Hippocraticæ notum fuisse, minus verisimile est, utpote cum in nullis libris antiquioribus, ejusmodi quid vel obiter memoretur. [Il est clair que nous devons les origines de cet onguent à Paracelse, au livre i de l’Archidoxe magique. {a} Il est en effet moins vraisemblable qu’il ait été connu de l’antique École hermétique et hippocratique, étant donné qu’aucun livre plus ancien ne mentionne cet onguent ni quoi que ce soit qui y ressemble].
Viridarium philosophicum, hoc est Disputationes aliquot de selectis quibusdam, iucundioribus, et utilioribus in philosophia materiis : partim in Ingolstadiensi, partim in Dilinagna Universitate ad publicum certamen propositæ, Præside Laurentio Forero Soc. Iesu Sacerdote. Nunc vero in gratiam studiosorum, medicinæ, et philosophiæ denuo typis excusa.[Bosquet philosophique, soit quelques disputations sur certaines matières choisies comme étant fort plaisantes et utiles en philosophie ; proposées à l’argumentation publique dans les universités soit d’Ingolstadt, soit de Dillingen, {a} sous la présidence de Laurentius Forerus, prêtre de la Compagnie de Jésus. Nouvelle édition pour le profit des étudiants en médecine et en philosophie]. {b}
- En Bavière.
- Dillingen, Udalricus Res, 1624, in‑4o ; la Disputatio de Sympathia et antipathia [Thèse sur la Sympathie et l’antipathie] occupe les pages 165 à 255.