À Thomas Bartholin, le 13 août 1663
Note [12]
Virgile, Énéide, chant xii, vers 405‑406 :
Nulla viam Fortuna regit, nihil auctor Apollo
subvenit.[La Fortune {a} ne l’aide en rien ; Apollon, {b} son protecteur, ne lui procure aucun secours].
- Déesse qui décidait de la chance et de la malchance (v. note [9], lettre 138).
- Entre maintes autres attributions, Apollon était dieu de la guérison par les remèdes (v. note [8], lettre 997).