Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Bornoniana 4 manuscrit
Note [72]
V. supra note [70], pour la parenté entre Isabelle d’Escoubleau de Sourdis et « Madame Gabrielle » (d’Estrées), maîtresse du roi Henri iv, dont la bienveillance avait permis, en 1599, la nomination du cardinal de Sourdis (v. supra note [71]), fils aîné d’Isabelle. Le « P.P.P.P. » du pasquil (v. supra note [10]) s’en moquait férocement :
« J’ai été fait cardinal en récompense d’une chasteté qui a rendu les armes. »
En disant à son mari « qu’il y en avait encore plus qu’il ne lui en fallait », la comtesse voulait lui faire entendre soit que ses débauches profitaient plus à son mari qu’elles ne le déshonoraient, soit (plus probablement, v. note [37] du Patiniana I‑3) qu’il était mal placé pour les lui reprocher car les siennes étaient bien plus ignominieuses encore.