Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [62]
« Lorsque les Sabins eurent enfermé le vieux Janus, ce fut partout le signe d’une paix florissante : il n’y a aucun salut dans la guerre, le monde entier réclame la paix. Et nous, avons-nous enfermé un vigoureux Janus ? Qu’en adviendra-t-il ? »
L’Esprit de Guy Patin a transcrit un fragment (mis entre guillemets anglais) de la lettre du 10 mars 1638 : v. ses notes [5]‑[7]. Le commentaire qui suit, sur la médecine et la guerre, émane de ses compilateurs, aussi dénués de scrupules que de sel.