De Reiner von Neuhaus, le 1er août 1669
Note [7]
« nous avons tourné nos mains suppliantes vers le ciel » ; réminiscence d’Énée (v. note [14], lettre d’Adolf Vorst, datée du 4 septembre 1661) s’éveillant d’un rêve prémonitoire dans Virgile (Énéide, chant iii, vers 176‑178) :
Corripo e stratis corpus tendoque supinas
[Je m’arrache du lit, j’élève les deux mains ouvertes vers le ciel en priant à haute voix, et je répands sur le foyer des offrandes immaculées].
ad cælum cum voce manus et munera libo
intemerata focis.