À Claude II Belin, le 28 octobre 1648, note 1.
Note [1]

Le paranymphe médical de Robert Patin, prononcé en 1648, ne fut imprimé qu’en 1663 (v. note [2], lettre 157) ; ce délai est ainsi expliqué dans l’avertissement Benevolo lectori [au bienveillant lecteur] :

Quod per quindecim annos in tenebris oblituit Opusculum, anno 1648. tunc temporis Medicinæ Baccalaureo exaratum et publice dictum, non existimabam typis esse mandandum, sed hodie amicorum præcibus enixe atque vehementer petentium in vulgus prodit, utinam illud quantulumcumque, tibi gratum sit.

[Si cet opuscule, rédigé et lu publiquement en 1648, au temps de mon baccalauréat de médecine, s’est tenu caché dans les ténèbres pendant quinze années, c’est que j’estimais ne pas devoir l’imprimer ; mais aujourd’hui le voici offert au public sur les prières d’amis qui l’ont réclamé avec force et insistance. Pourvu que, tout petit qu’il est, il te soit agréable].


  1. V. note [11], lettre 155, pour le baccalauréat de Robert Patin, le 4 avril 1648. Le 28 juin suivant, la Faculté lui avait fait l’insigne honneur de lui confier la rédaction et la récitations du discours de paranymphes à la gloire des licenciés de la même année.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 28 octobre 1648, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0162&cln=1

(Consulté le 28/03/2024)

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