Note [1] |
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Guy Patin en voulait à Jean Elsevier de ne pas avoir tenu son engagement envers Johannes Antonides Vander Linden quand il lui avait confié sa lettre : au lieu de la faire porter à Paris par ses commis voyageurs, il l’avait confiée à la poste, avec l’inconvénient pour le destinataire d’avoir à en régler les frais de port. Patin s’y résignait à contrecœur et demandait donc à Linden de recourir désormais à la voie postale, sauf s’il trouvait un messager plus fiable qu’Elsevier. Il est revenu sur la question dans sa lettre latine 116 (v. sa note [1]). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1144&cln=1 (Consulté le 13/12/2024) |