De Charles Spon, le 6 avril 1657, note 1.
Note [1]

« [que] je survis et que nous respirons l’air du jour » ; Virgile (Enéide, chant i, vers 546‑548) :

Quem si fata virum servant, si vescitur aura
ætheria, neque adhuc crudelibus occubat umbris,
non metus
.

[Si les destins gardent en vie ce héros, {a} s’il respire l’air du jour, et s’il ne repose pas déjà chez les ombres cruelles, nous ne craignons rien].


  1. Énée (v. note [14], lettre d’Adolf Vorst, datée du 4 septembre 1661).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Charles Spon, le 6 avril 1657, note 1.

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(Consulté le 24/04/2024)

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