Note [10] | |
« Quiconque veut écrire l’histoire, l’écrire vraie, doit se garder de ce qui fut ta perte, grand Thou. La plume de ton père avait commis le crime d’offenser les éminents personnages de la famille Richelieu, {a} ce qui t’a coûté la vie. Gayot de Pitaval, avocat au parlement de Paris, a commenté ce passage de Guy Patin dans ses Causes célèbres et intéressantes avec les jugements qui les ont décidées (Amsterdam, J.F Bassompierre, 1775, in‑8o), tome 8, pages 115‑116 :
Suit sa transcription en latin avec un 7e vers un peu différent {c} et une traduction plus libre en vers français :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 28 mars 1643, note 10.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0079&cln=10 (Consulté le 13/01/2025) |