À Ijsbrand van Diemerbroeck, le 31 août 1657, note 10.
Note [10]

« Être deux à avoir un avis différent sur les mêmes choses, sans nuire, etc. », v. note [3], lettre 172.

Guy Patin avait ici barré une formule qui concluait sa lettre (« Portez-vous donc bien, très savant Monsieur, et aimez-moi »), pour l’allonger de ce qui suit.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Ijsbrand van Diemerbroeck, le 31 août 1657, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1123&cln=10

(Consulté le 27/04/2024)

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