Note [22] | |
« il l’avait détruit par son venin, et lui, en a ensuite infecté quantité d’autres. » L’audacieux Tractatus de Immortalitate animæ [Traité sur l’immortalité de l’âme] (1516) de Pomponace, qui lui avait valu l’animosité de l’Inquisition (v. note [67], lettre Naudæana 1), s’était en partie inspiré du commentaire de Cajetan sur le De Anima [De l’Âme] d’Aristote (paru en 1510), comme l’a confirmé Annalisa Cappiello dans son article intitulé Tommaso de Vio Gaetano, Pietro Pomponazzi e la polemica sull’immortalità dell’anima. Status quæstionis e nuove scoperte [Thomas de Vio Cajetan, Pomponace et la polémique sur l’immortalité de l’âme. État de la question et nouvelles preuves] (Noctua, Anno v, n. 1). Cet article du Patiniana figure dans le manuscrit de Vienne (page 77). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Patiniana I‑4 (1701), note 22. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8199&cln=22 (Consulté le 04/12/2024) |