Note [27] |
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« si nous les préservons chacune de l’horrible tabès [v. note [9], lettre 93], on peut espérer une autre issue ; et nous espérons qu’il restera bien assez de santé à cet homme de grande qualité et très éminent philosophe que nous aimons. » Les entrailles nourricières sont les intestins. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 23 février 1655, note 27.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0391&cln=27 (Consulté le 07/09/2024) |