Note [3] |
|
La fin de la phrase, malhabilement construite, concerne l’évêque d’Amiens, François Le Fèvre de Caumartin, mort le 27 novembre (v. note [8], lettre 298), et non son père, le garde des sceaux Louis de Caumartin (v. note [8], lettre 197). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 décembre 1652, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0299&cln=3 (Consulté le 08/12/2024) |