À Charles Spon, le 20 décembre 1652, note 3.
Note [3]

La fin de la phrase, malhabilement construite, concerne l’évêque d’Amiens, François Le Fèvre de Caumartin, mort le 27 novembre (v. note [8], lettre 298), et non son père, le garde des sceaux Louis de Caumartin (v. note [8], lettre 197).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 20 décembre 1652, note 3.

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(Consulté le 08/12/2024)

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