Note [3] |
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« une cire molle bonne à être façonnée au vice, rebelle aux avertissements, insouciant des choses utiles, prodigue d’argent, étourdi et passionné, et prompt à délaisser ce qu’il a aimé » (Horace, Art poétique, v. note [4], lettre 177). Noël Falconet allait de fait s’inscrire à l’Université de médecine de Montpellier pour y obtenir son baccalauréat le 2 décembre 1662, sa licence le 15 mai 1663 et son doctorat le 18 juin de la même année (Dulieu) : soit mettre moins de sept mois à accomplir ce qui lui aurait pris plus de deux ans à Paris. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 9 avril 1660, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0601&cln=3 (Consulté le 03/12/2024) |