Note [3] | |
La transpiration ne se limitait pas alors à la sudation (Furetière) : « action par laquelle la nature pousse les mauvaises humeurs par les pores ou attire l’air en dedans du corps. {a} Les médecins appellent la transpiration une respiration insensible, comme celle du fœtus dans le ventre de la mère. {b} […] La transpiration se fait par le moyen des glandes de la peau qui préparent la matière de la sueur, dont la rétention cause quelquefois des maladies. On tient qu’elle sert aussi à la sanguification. {c} La sueur se fait par une transpiration sensible. Dans tous les corps il se fait une insensible et une continuelle transpiration des parties subtiles et volatiles. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 11 octobre 1667, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0924&cln=3 (Consulté le 02/12/2024) |