À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 31.
Note [31]

« jusqu’à l’infamie. »

La seule allusion que j’aie trouvée sur ce sujet dans la Praxis Medica de Lazare Rivière {a} ne concerne pas ni la variole, ni l’eau de mille-fleurs :

Toto autem curationis tempore utatur æger pro potu ordinario aqua ferrata, vel decocto millefolii.

[Pendant toute la durée du traitement, le malade usera, pour boisson ordinaire, d’eau ferrugineuse ou de décoction de mille-feuille]. {b}


  1. Praxis Medica [Pratique médicale] (Lyon, 1653) livre x, page 747, chapitre x, De hæmorrhoidum fluxu immodico [Le flux hémorroïdal abondant]. V. note [5], lettre 49, pour d’autres éditions de ce livre et son auteur.

  2. « Plante qui a été ainsi appelée à cause de la quantité de ses feuilles, ou pour mieux dire, à cause de la quantité des subdivisions dans lesquelles chacune de ses feuilles est partagée » ; elle est « vulnéraire, résolutive et astringente ; on s’en sert pour arrêter toutes sortes d’hémorragies, et surtout le cours déréglé des hémorroïdes et des fleurs blanches [règles blanches ou leucorrhées] » (Trévoux).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 31.

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(Consulté le 12/12/2024)

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