À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 5.
Note [5]

À l’aide d’un argument bien spécieux, Guy Patin faisait ici l’esprit fort (v. seconde notule {a}, note [1] du Faux Patiniana II‑4), et rejetait sur la peur stupide du peuple la crainte que les médecins avaient de la peste. Il allait d’ailleurs se dédire dans les phrases qui suivent, en convenant de la grande contagiosité de la peste (le vrai motif des médecins pour se garder d’aller en soigner les victimes).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 5.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0005&cln=5

(Consulté le 05/12/2024)

Licence Creative Commons