Note [53] |
|
Robert Patin allait soutenir sa dernière thèse de bachelier, la seconde quodlibétaire, le 9 décembre 1649 sous la présidence de François Boujonier : Estne certa et optima luis veneræ per solam hydrogyrosim curatio ? [Une meilleure et certaine guérison de la maladie vénérienne (syphilis) n’est–elle pas procurée par le seul mercure ?], conclusion affirmative (v. note [1], lettre 157). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 décembre 1649, note 53.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0209&cln=53 (Consulté le 05/10/2024) |