Note [6] |
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Fiction héritée de l’Antiquité (Aristote et Galien) qui assimilait le mouvement du sang veineux à celui des marées dans un fleuve côtier, tel le Méandre, en Carie ; comme Jean ii Riolan l’a décrit dans ses Opera anatomica vetera… (1649 ; v. note [18], lettre 192). Ce premier article de la thèse nie, en 1673, à la fois la circulation du sang (publiée en 1628) et les voies du chyle (décrites en 1651). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Thomas Diafoirus (1673) et sa thèse (1670), note 6.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8009&cln=6 (Consulté le 06/10/2024) |