Note [76] | |
Page 372 (Paris, 1646), dans la section du chapitre cxxv, livre ii (v. supra note [73]), intitulée Resina colophonia [La Résine de colophon], ligne 21, corriger une coquille (host, mot sans signification, pour hoc [c’est]) dans le § 69 qui concerne la coutume antique de mettre de la résine dans les vins : Qua occasione usus, monebo eos, qui Vina Græca solent concedere ægris. Omnia, excepta Malvasia, dicunt quidam, sunt picata, host [hoc] est, ad conservationem sui, acceperunt pugillum unum, alterumve Colophoniæ pulverisatæ, quam odor prodit. [Sur cet usage, je mets en garde ceux qui ont coutume de permettre aux malades de consommer des vins grecs : certains disent qu’hormis la malvoisie, {a} tous sont résinés, c’est-à-dire que, pour favoriser leur conservation, on y a ajouté une ou deux poignées de colophon en poudre, ce que trahit son odeur]. La réédition de Francfort (1667, page 296) a appliqué cette correction. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 76.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1384&cln=76 (Consulté le 20/09/2024) |