Note [9] | |
« pour que rien ne manque à notre infamie. » Le 4 juillet 1653 marquait le premier anniversaire du massacre de l’Hôtel de Ville fomenté par les frondeurs condéens contre les mazarins. Guy Patin y avait perdu son parent, voisin et ami Robert ii Miron (v. note [39], lettre 291). Journal de la Fronde (volume ii, fo 234 ro et vo, de Paris, 1er juillet 1653) :
|
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er juillet 1653, note 9.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0321&cln=9 (Consulté le 16/09/2024) |