Note [98] | |
« Mine, en termes de guerre, est un canal souterrain qu’on conduit jusque sous la muraille ou rempart d’un ouvrage qu’on veut faire sauter par le moyen de la poudre qu’on y enferme […]. On dit qu’on a éventé la mine lorsqu’on a découvert le lieu de la mine et qu’on en a empêché l’effet, ce qui se dit aussi au figuré quand on a découvert quelque conjuration ou quelque autre dessein d’un ennemi et qu’on a trouvé un remède pour s’en défendre » (Furetière). V. notes [11] et [12], lettre 165, pour les frères Tambonneau et pour Claude de Laulne. Olivier Le Fèvre d’Ormesson (Journal, tome i, pages 669‑670) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 98.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0166&cln=98 (Consulté le 03/12/2024) |