Triade 84 (suite).
« un livre qui vaut son pesant d’or » : v. note [5], lettre 76.
Au lieu des trois annoncés, cette triade cite dix auteurs que Guy Patin a constamment loués sans réserve, tirés de son panthéon littéraire (v. note [2] de la Préface de la première édition des Lettres [1683]).
- Sur la dérision des bassesses humaines, on en compte sept ; v. notes :
- [14], lettre 41, pour Lucien de Samosate et pour le Satyricon de Pétrone ;
- [20], lettre 80, pour L’Euphormion de Jean Barclay ;
- [9], lettre 17, pour François Rabelais ;
- [3], lettre 44, pour Érasme, dont les Colloques familiers et L’Éloge de la folie ne représentent que la partie la plus satirique d’une gigantesque production littéraire ;
- [33], lettre 99, pour la Métamorphose (L’Âne d’or) d’Apulée ;
- [41] supra, triade 82, pour les Métamorphoses d’Ovide.
- S’y ajoute une autre triade d’auteurs de contemnenda morte [sur le mépris qu’il faut avoir de la mort], v. notes :
- [51], notule {e}, du Borboniana 7 manuscrit pour une des méditations de Cicéron dans le livre i de ses Tusculanes ;
- [2], lettre 64, pour Sénèque le Jeune, et [9] supra pour sa mort stoïque ;
- [7], lettre 73, pour La Sagesse de Pierre Charron.
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