À Charles Spon, le 1er novembre 1652
Note [29]
« pour l’absolue destruction des gens de bien et de tout notre État. »
Tout ce passage (sauf le latin final) sur la maladie fatale d’Omer ii Talon se trouve, presque à l’identique, dans une lettre datée du 20 décembre 1652, adressée à Charles Spon dans Du Four (xli, pages 139‑141) et Bulderen (lxxi, tome i, 201‑203), et à André Falconet dans Reveillé-Parise (ccccviii, tome iii, 6‑8), qu’il faut considérer comme fabriquée (v. notes [a] et [27], lettre 299, et [1], lettre 304).