À Charles Spon, le 4 février 1653, note 1.
Note [1]

Ces deux phrases se trouvent (avec une atténuation de la pique finale contre Mazarin) dans une lettre datée du 20 décembre 1652 adressée à Charles Spon dans l’édition Bulderen (lxxi, tome i, 201‑203) et à André Falconet dans l’édition Reveillé-Parise (ccccviii, tome iii, 6‑8), qu’il faut considérer comme fabriquée (v. notes [29], lettre 295, [4] et [27], lettre 299).

Ici s’insère dans ces anciennes éditions un paragraphe « orphelin » :

« Si, pourtant, l’on ne l’envoie pas, {a} on tâchera le mieux qu’on pourra de s’en passer, mais les médecins y perdraient le plus car il leur vient toujours en partage quelque malade qui s’est morfondu courant d’église en église. » {b}


  1. Le jubilé.

  2. Être morfondu est à prendre dans son sens premier d’avoir « enduré du froid après avoir eu chaud » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 février 1653, note 1.

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(Consulté le 10/12/2024)

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