Note [1] | |
Ces deux phrases se trouvent (avec une atténuation de la pique finale contre Mazarin) dans une lettre datée du 20 décembre 1652 adressée à Charles Spon dans l’édition Bulderen (lxxi, tome i, 201‑203) et à André Falconet dans l’édition Reveillé-Parise (ccccviii, tome iii, 6‑8), qu’il faut considérer comme fabriquée (v. notes [29], lettre 295, [4] et [27], lettre 299). Ici s’insère dans ces anciennes éditions un paragraphe « orphelin » :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 4 février 1653, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0304&cln=1 (Consulté le 10/12/2024) |