Note [17]
« qui, ici tout comme ailleurs, s’est fort profondément et fort odieusement trompé ».
Juan Luis Vives (v. note [3], lettre 125) n’a pas laissé d’ouvrage spécifiquement consacré à Apulée, mais il a critiqué son goût et son style dans ses De Disciplinis (v. note [2] du Patiniana I‑1 pour l’édition de Lyon, 1551).