À Charles Spon, le 6 septembre 1652
Note [2]
« Et si le sort s’en mêle, deux poisons pris ensemble deviennent secourables » : 11e et dernier vers de l’Épigramme x, Contre une empoisonneuse adultère ; Ausone (v. note [9], lettre 335) y conte l’histoire d’une femme qui voulut tuer son mari gênant en lui donnant deux poisons en même temps ; mais l’un étant l’antidote de l’autre, le mari n’en éprouva aucun inconvénient.
V. note [8], lettre 66, pour Frédéric-Maurice de La Tour d’Auvergne, prince de Bouillon-Sedan, frère aîné du maréchal de Turenne.