À Hugues II de Salins, le 3 mars 1656
Note [21]
« les secondes pensées seront meilleures. » Secundæ cogitationes [semper] sunt meliores [sapientores], « les secondes pensées sont [toujours] meilleurs [plus sages] », est un adage de l’Antiquité.
Les deux ouvrages de Jean Merlet « contre l’antimoine » sont, pour le latin, Parænesis ad medicos antimoniales… (sans lieu, 1655, v. note [54], lettre 420), et pour le français, Remarques sur le livre de l’antimoine de Me Eusèbe Renaudot… (Paris, 1654, v. note [3], lettre 346).
V. notes [3], lettre 380, pour Le Rabat-joie de l’Antimoine triomphant de Jacques Perreau, et [14], lettre 358, et [3], lettre 390, pour le Cani miuro… et la Defensio altera… de Charles Guillemeau contre Siméon Courtaud.