« œuvre divine, qui vaut son pesant d’or [v. note [5], lettre 76], et qui doit être préférée à tous les trésors de la Perse » : v. note [1], lettre 36, pour la Pathologie de Jean Fernel.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656, note 6.