À Charles Spon, le 23 octobre 1671

Note [4]

« Les trésors aujourd’hui ne se donnent qu’aux riches » (v. note [23], lettre 822). Nicolas Brayer (v. note [2], lettre 111) n’a pas succédé à Antoine Vallot dans la charge de premier médecin du roi : v. note [2], lettre 1005.

Guy Patin avait tort de dénigrer ainsi son riche collègue : en novembre 1672, quand la mort de Patin eut plongé sa veuve dans la nécessité, Brayer allait déterminer la Compagnie des docteurs régents à cotiser pour lui servir une rente trimestrielle de 50 livres (v. note [2] de Comment le mariage et la mort de Robert Patin ont causé la ruine de Guy).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 23 octobre 1671, note 4.

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(Consulté le 08/05/2024)

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