À Johann Peter Lotich, le 28 octobre 1668

Note [2]

« ânes devant la lyre » : adage antique courant et bien attesté (v. note [5], lettre 439), contrairement à la « santé de génisse », vitulæ valetudo, qui figure un peu plus haut dans la lettre, et que je n’ai vue nulle pat ailleurs.

V. note [83], lettre 150, pour l’édition du Satyricon de Pétrone par Johann Peter Lotich (Francfort, 1629). Guy Patin avait en effet sollicité plusieurs libraires pour aider l’auteur à en obtenir la réédition ; mais en vain, car la parution du Fragmentum [fragment inédit de l’œuvre] en 1664 (v. note [11], lettre 792) lui avait ôté tout intérêt littéraire et commercial.

V. note [1], lettre latine 436, pour l’animosité exacerbée de Patin contre les libraires parisiens et leur syndicat qui chicanaient alors rudement contre lui.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Peter Lotich, le 28 octobre 1668, note 2.

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(Consulté le 29/04/2024)

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