À Charles Spon, le 4 décembre 1651, note 13.
Note [13]

« de sublimé ou d’arsenic, ça n’est pas évident. »

Sublimé : « poison violent qui se fait en sublimant du mercure avec des sels violents dans un alambic, comme du sel ammoniac et du vitriol ; et alors on l’appelle le sublimé corrosif [deutochlorure de mercure] ; mais quand il est mêlé avec du mercure coulant, il est appelé sublimé doux [calomel ou protochlorure de mercure, v. note [11], lettre 435] et on s’en sert dans la cure de diverses maladies, et surtout des vénériennes » (Furetière et Littré DLF pour les ajouts entre crochets).

V. note [4], lettre latine 371, pour l’arsenic et ses anciens emplois médicaux.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 décembre 1651, note 13.

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(Consulté le 15/10/2024)

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