Note [18] | |
« Ô misérable Allemagne qui mange sous de si lentes mâchoires ! » ; imitation fautive de Suétone : {a} Miserum populum R., qui sub tam lentis maxillis erit ! {b} Patin redoutait pour les Allemands d’être « mastiqués » par les remèdes que recommandait Johann Zwelfer dans ses Animadversiones in Pharmacopœiam Augustanam [Remarques sur la Pharmacopée d’Augsbourg] (1652, v. note[2], lettre 312), où il faisait la part belle aux remèdes composés et chimiques (dont l’antimoine). V. note [35], lettre 307, pour les éditions grecques de Paul Éginète. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 juin 1653, note 18.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0317&cln=18 (Consulté le 06/12/2024) |