À Charles Spon, le 8 mars 1644, note 31.
Note [31]

Les médicaments cordiaux (fortifiants) se présentaient sous diverses formes : eau, limonade, ou julep (sirop), poudre, tablette, apozème, bézoard, etc.

« Les quatre eaux cordiales sont celles de bourrache, de buglose [v. note [2] de l’observation ix pour ces deux plantes potagères], d’endive [chicorée des jardins], et de chicorée [pissenlit]. Quelques-uns ajoutent celles de chardon bénit [v. note [7], lettre 99], de scorsonère, de morsus diaboli [morsure du diable, surnom du succisa], de scabieuse, d’oseille et d’alleluia [trèfle aigre, v. note [3], lettre latine 22] » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 8 mars 1644, note 31.

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(Consulté le 03/12/2024)

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