À Charles Spon, le 16 août 1654, note 7.
Note [7]

« ainsi en a-t-il plu aux dieux, en demander davantage est impie » (v. note [12], lettre 237). Guy Patin n’a pas précisé ce qu’il entendait exactement par cette arithmétique des dons de Dieu. On peut seulement supposer que ce « quelque chose de trop » qu’avait Charles Ogier était un troisième testicule (v. note [11] du Naudæana 1, pour cette anomalie dénommée polyorchidie).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 août 1654, note 7.

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(Consulté le 13/12/2024)

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