Note [7] | |
« mais en cela réside la malignité du sort : “ Son propre siècle a si peu compris Caton ” » ; Sénèque le Jeune (De la Constance du sage, livre ii, chapitre 1, § 3) :
Pour Guy Patin, nul compliment n’était trop grand pour honorer la mémoire de son maître Nicolas Piètre (que la médecine a aujourd’hui complètement oublié, ainsi que toute son illustre famille). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 1er juin 1662, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0732&cln=7 (Consulté le 20/09/2024) |