Note [7] | |
« car si elle [la Sainte Écriture] n’existait pas, on découvrirait que le monde est bien plus ancien qu’on ne le pense communément » : référence à Galilée (v. note [19], lettre 226) sans source identifiée, mais dans le ton du « libertinage érudit » que Guy Patin se plaisait à cultiver en compagnie de Guillaume de Lamoignon. Thomas d’Aquin (v. note [24], lettre 345) est l’auteur d’un traité de Æternitate mundi [sur l’Éternité du monde], écrit vers 1270, qui débute sur ce constat :
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 30 mai 1659. Note 7
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