Note [8] | |
« Quand, grossière et naïve, la religion n’était pas encore devenue un métier… » La suite de la Silva ad Franciscum Augustum Thuanum, Iac. Augusti F. [Silve à François-Auguste de Thou, fils de Jacques-Auguste] aide en partie à comprendre le commentaire navré de Guy Patin (page 450) : {a}
Patin a souvent marqué sa profonde, mais illusoire, nostalgie des siècles passés, d’un âge d’or où l’amour du prochain et le bonheur de tous auraient résumé les lois, loin des manigances des puissants et des criminels. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 2 mars 1643, note 8.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0077&cln=8 (Consulté le 03/12/2024) |