À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 9.
Note [9]

« par ma grand-mère paternelle ».

Guy Patin a d’abord dit ce procureur de « roi », c’est-à-dire substitut du procureur général ; puis il a biffé ce mot pour le remplacer par « la Cour », ce qui est dénué de sens bien précis. Il faut néanmoins penser qu’il s’agit de la Cour de Parlement, puisque c’est ce magistrat qui instruisait alors le procès du Collège des médecins de Lyon contre Bonaventure Basset (v. note [27], lettre 477). Les généalogies numériques que j’ai consultées concordent sur Claude Alleaume (ou Aleaume), procureur au Parlement de Paris, décédé avant 1661 ; sa veuve, Marie Bouquin (Boucquin) et trois de leurs enfants lui ont survécu.

Je n’ai pas su confirmer le lien de parenté entre Alleaume et Patin, dont le grand-père paternel se prénommait aussi Guy, et avait épousé une dénommée Catherine Dusaing.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0487&cln=9

(Consulté le 19/04/2024)

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