Note [2] | |
« Comète fut d’abord du féminin ; au xvie s. on fit ce mot du masculin pour se conformer à l’étymologie [cometa en latin] ; plus tard on hésitait entre l’ancien genre et le nouveau […] ; aujourd’hui comète est du féminin » (Littré DLF). Athénée de Naucratis, Les Déipnosophistes, livre xv, page 982‑983 : {a} « Après ces choses, on fit des question au sujet de ceux qui jouent au cottabe. {b} Quelqu’un des médecins qui était présent jugea que ceux-là qui boivent beaucoup en usaient souvent de la sorte à la sortie du bain, pour se vider et pour vomir, et qu’anciennement ce n’était pas la coutume d’en user ainsi, et qu’il ne savait pas si aucun des Anciens s’y était jamais comporté de la façon ; mais qu’Érasistrate Julietes {c} même dans son ouvrage de la Médecine universelle, reprend ceux qui font cela parce que, comme il l’assure, leurs yeux s’affaiblissent par cet effort, et leur ventre se resserre. Ulpian {d} lui dit :Comment ne pas y ajouter cet avis de Juvénal à propos de Palæmon (Satire vii, vers 225‑227) ?Courage Asclépiade, écoute enfin Charon,
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 23 janvier 1665, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0809&cln=2 (Consulté le 04/12/2024) |