Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑2 (1701)
Note [36]
« elles tombent en un délire mélancolique, sentant l’aiguillon de la chair et, à dire le vrai, c’est d’un remède charnel qu’elles ont besoin pour en guérir entièrement ».
V. notes :
Cet article du Patiniana figure dans le manuscrit de Vienne (pages 34‑35).