Guy Patin a correspondu avec deux Hollandais dénommés Vorst (Vorstius), père et fils.
Johannes Antonides Vander Linden a prononcé l’Oratio funebris [Oraison funèbre] de Vorst (Leyde, 1664, v. note [5], lettre latine 263), qui contient d’abondants détails sur sa vie et sur les circonstances de sa mort (v. note [2], lettre latine 254).